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NOUS SOMMES LA PREMIERE GENERATION DE FEMMES QUI A LE DROIT D'ETRE EN COLERE et/ou DE DIRE NON


(Nous, les femmes privilégiées vivant dans des pays où l'on peut vivre de manière indépendante)


Imagine quel a été la marge de choix des générations précédentes?

-> Alors, qu'est-ce que qu'on va décider de faire de ces nouvelles possibilités?


IMPLICATIONS ENERGETIQUES : NON UTILISATIONS DE FORCES ENERGETIQUES AU NIVEAU DE L'AURA, DU CHAKRA SACRE, DU PLEXUS SOLAIRE, DU CHAKRA DE LA GORGE : SCHEMAS ENERGETIQUES HERITES DES ANCETRES.

Sous utilisation de ces centres énergétiques, auto interdiction à aller chercher certaines forces intérieures.


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🔥Une histoire de colère la interdite aux femmes :


Depuis des millénaires, les femmes sont éduquées, disciplinées, façonnées pour ne pas se faire justice, pour ne pas réagir, pour ne pas se mettre en colère.


Et cela, c'est un ordre qui a été imposé.



⭐ Historiquement, la justice n’a jamais été du côté des femmes


->Pendant presque toute l’histoire humaine : les femmes n’avaient pas de droits civiques, pas de droits économiques, pas de droits juridiques sur leurs corps, leurs enfants, leurs biens, et souvent aucune possibilité légale d’accuser un homme, même en cas de viol ou de violence ( ceci est dans la majorité des cas,car il y a eu des exceptions)


Pendant des siècles, la justice a été uniquement masculine.


Écrite par des hommes. Appliquée par des hommes. Pour défendre des hommes.


→ Quand ton agresseur, ton juge et ton législateur font partie du même système, la justice peut-elle être justice?



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⭐ Point de vue anthropologique : la survie dépendait du silence



Dans les structures tribales, patriarcales, féodales ou familiales : une femme dépendait de son clan, de son mari, de son père, de l’honneur d’un groupe.


Se rebeller, équivaut à risquer la mort, l’expulsion, la pauvreté, la solitude.


Donc l’organisme humain a fait ce que tous les organismes font :


➡️ il a développé des STRATEGIES D'ADAPTATION : le silence, la soumission apparente, l’absence de revendication.


Pas par faiblesse mais par instinct de survie.



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⭐ 3. Point de vue sociologique : la colère féminine a été pathologisée



Une femme en colère a longtemps été considérée : hystérique, instable, démoniaque, irrationnelle, dangereuse, “contre nature”.


La colère masculine = pouvoir, leadership, droit de protester.


La colère féminine = folie, honte, punition.


Résultat : ➡️ LES FEMMES ONT APPRIS QUE LA COLERE LES METTAIT EN DANGER



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⭐ 4. Psychologiquement : on a transmis un héritage d’impuissance



Si ta mère n’a pas été écoutée, ta grand-mère réduite au silence,


ta lignée punie pour avoir dit non, alors l’impuissance devient un réflexe intérieurement programmé, transgénérationnel.


On appelle ça :


➡️ IMPUISSANCE APPRISE (concept psychologique : Martin Seligman)


➡️ TRAUMATISME COLLECTIF (concept sociologique)


➡️ MEMOIRE DE LA PEUR (anthropologie du corps)



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⭐ 5. Et pourtant : la colère féminine est un pouvoir



La colère n’est pas un problème. C'est un mécanisme de défense plus que sain. Elle est là pour te protéger, pour permettre de te protéger et défendre ce qui doit être défendu.


Quand la justice extérieure ne répond pas, la colère reste en suspens. Elle peut être retournée contre soi. Et quand elle se retourne vers l’intérieur, cela peut se traduire par de la fatigue, de l'anxiété, la dissociation, la la honte, la culpabilité, l'auto-silenciation, chakra sacré bloqué, impossibilité de dire non, inflammation et oxydation dans le corps, maladie auto-immune, manque de confiance en soi....



Ce que tu prends pour des traits de personnalité sont peut être juste les conséquences de cet environnement, et cette vaste EMPRISE COLLECTIVE.



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⭐ Aujourd’hui : nous sommes la première génération à pouvoir regarder la colère en face



Nous ne vivons plus dans un monde où la colère féminine signifie la mort assurée. Nous vivons dans un monde où la colère féminine peut devenir un signal de guérison, et de libération de tous les siècles de silenciation.


La justice extérieure n’est pas encore fiable, mais la justice intérieure devient possible.



Le travail n’est pas de “se venger”.


Le travail est de DESAPPRENDRE L'IMPUISSANCE.



Au final, ce n’est pas que les femmes “ne se font pas justice”.


C’est que pendant des millénaires, la justice n'a pas existé pour elles.


Alors la colère a élu domicile dans le corps, en attendant d’être enfin reconnue comme une force de vie, pas comme un problème.



Etape 1 : libérer les corps


Etape 2 : libérer toutes les femmes



=> Je propose uen initiation Sekhmet, qui t'apprend à embrasser et voir la colère sous un autre jour que celui qu'on ta appris.


Prochaine initiation le 7 décembre 2025, en ligne :



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