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JO, MARIE JOSE PEREC, BIEN ETRE

Photo du rédacteur: Mathilda MoutoussamyMathilda Moutoussamy


A l'époque où Marie José Perec a quitté les JO de Sydney, on ne parlait pas encore de santé mentale, d'anxiété, ou de harcèlement.


C'était comme si à l'époque, on n'avait pas les mots pour décrire ces situations.



Depuis, la parole a été ouverte dans de nombreux milieux, y compris sportifs, et si du chemin reste à parcourir, notamment dans le milieu du travail de manière générale, force est de constater qu'on a beaucoup avancé depuis cette époque.



Quand on n'a pas les mots, ni les concepts, difficile de décrire, traverser, et encore moins résilier face à certaines situations.



Ca me fait penser que, s'il y a du bon et du moins bon dans le "bien-être", on a quand même franchi de sacrés pas depuis les années 2000.



-> De l'importance des mots, des concepts, pour avancer




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