On vit dans un un monde fou où socialement, les émotions sont plutôt mal acceptées, pourtant, c'est un peu le moteur qui fait un peu tout marcher :
qui fait les rencontres, qui fait les amitiés et les desamitiés, qui fait les bébés (quand le rapport est consenti)...qui fait et défait les passions, les peurs et le rancoeurs...
On cherche des films, des musiques, de l'art, des expériences qui vous nous bouleverser, quand on arrive à sortir de nos coquilles.
On cherche à être touchés.e.s
La pub, le marketing et à présent les médias mainstream, ont bien compris ça depuis des décennies et nous vendent des émotions et de la réaction pour qu'on achète.
Les réseaux sociaux ont compris ça : on cherche à polariser, à nous faire réagir, à nous pousser dans nos retranchements, dans nos extrémités. Il faut choquer, il faut marquer, comme le journal TV de 20H. Parce que ça vend. Parce que ça fait tourner la planche à billet.
Tu avais remarqué cette contradiction?
Ce jeu sur nos émotions?
Au milieu de ces interdictions sociales d'exprimer tout ça?
Energetiquement, ça crée une sorte de double boucle à contre sens dans notre corps émotionnel, une sorte de je veux et je ne veux pas, un mouvement double qui tend à partir dans 2 sens opposés.
Un forme de tiraillement/protection/envie d'ouverture.
Qui ne laisse pas le corps émotionnel en paix, vivre sa propre vie pour rester centré et connecté à soi.
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Comment vous présenter mon travail en restant neutre, sans tomber dans ce jeu. En restant neutre?
Je cherche l'équilibre...
"On joue les funambules sur un câble invisible
On jongle avec des bulles, on défie l’impossible
Dans une main la colombe, dans l’autre le calibre
J’ai beau tendre les bras, je ne trouve pas l’équilibre"
Oxmo Puccino
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